N'existe pas un grand disque solo de Daevid Allen, qui marque une rupture avec le jazz complexe pratiqué à l'époque (1978/1979) par Gong. On le rangera dans les grands disques intemporels entre le Rock Bottom de Robert Wyatt et plus tard l'incroyable vérité de Sébastien Tellier.
On vous conseille aussi ce très bel album solo de Daevid Allen qu'est Nithtoyl, aux ambiances folks et lunaires (ces nappes de string ensemble), qui s'ouvre avec le magnifique Flamenco Zero qui transforme la guitare nylon en vrai prouesse psychédélique. Splendide.
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